Qui suis-je ?
Jérémy, titulaire d'un master en gestion de patrimoine à Caen, formation effectuée en alternance en banque m'ayant donné toutes les clés pour réussir dans le métier du conseil en investissement.
Je me dirigeais initialement vers un poste de conseiller patrimonial en banque privée en gérant que des profils très aisés. Alors, pourquoi je n'ai pas souhaité signer un contrat dans une grande banque privée ?
Mes 2 années d'alternance, période durant laquelle j'ai appris énormément et m'a permis de mettre un pied dans le monde professionnel, m'ont questionné quant à mon avenir. En effet, je ne voyais pas le métier de banquier avec un caractère aussi commercial, une approche client aussi suffisante. Ce que je cherchais initialement, c'était du conseil et adopter une stratégie en fonction des besoins du client et non la structurer selon les besoins de l'établissement.
J'ai donc décidé de lancer un cabinet en indépendant afin de travailler comme je le souhaite avec mon approche, le conseil et non le commercial. J'ai choisi de rejoindre un formidable réseau d'indépendants, Inovea.
Indépendant mais pas seul !
Qu'apporte mon cabinet ?
Si j'ai créé mon cabinet, c'est aussi car je suis parti d'un constat simple. En France, il y a environ 1 million de personnes qui sont accompagnées par des conseillers comme moi, 1 million de personnes qui, parce qu'ils ont suffisamment de revenu, de patrimoine, bénéficient de conseils et de solutions de qualité.
Pourtant, il existe près de 33 millions d'épargnants en France, qui ont eux aussi, des revenus et de l'épargne. Vous en faites forcément partie. Selon un sondage de l'IFOP, 85% des épargnants se disent sans éducation budgétaire et financière. Ces épargnants n'ont en prime, pour seul conseil pour la plupart, leur banque.
Le même sondage rappelle que pour 70% des personnes sondées, elles déplorent n'être qu'un numéro de compte pour leur banque. Ces personnes déplorent la relation avec leur conseiller bancaire qui n'a souvent pas le temps, n'a pas les moyens de réaliser un conseil forcément de qualité et encore moins de pouvoir les suivre sur la durée.
Il est vrai, les conseillers bancaires changent régulièrement de poste, et parfois leur conseil est plutôt dirigé, structuré pour assouvir les désirs des décideurs importants de leur institution, leur laissant peu de marge de manoeuvre.
C'est donc face à ce constat là que j'ai souhaité structurer mon cabinet, non pas pour le million de français déjà bien accompagné, mais j'ai vraiment souhaité démocratiser la gestion de patrimoine pour pouvoir apporter un conseil de qualité accessible à tous les épargnants. Pour que ceux-ci optimisent leur épargne, fassent mieux qu'en banque ou pire, fassent mieux que de ne rien faire du tout.